48 Quelques jours après les parents de la femme péparèrent le retour de la jeune femme, avec du mil, du riz, des vétements, des bonnets... La femme arriva chez elle et trouva le mari toujours aussi en colère ne daignant pas la saluer. Prenant son courage à deux mains elle lui dit : - Mon père m’a chargé de te donner ce bonnet. - C’est ton père qui a une tête à porter un bonnet, lui dit en colère l’homme qui ne pensait qu’à sa faim. Markoye - décembre 2006 - La gourmandise