49 - Voilà également une montre pour toi. - C’est ton père qui a un poignet pour mettre cette montre ! - Voilà un pantalon... - Ce n’est pas pour moi, mais ton père lui a les pieds qu’il faut pour le porter. et enfin elle lui dit : - Voilà un sac de mil et un sac de riz que mon père m’a dit de te donner. Le mari sauta alors de joie et s’assura auprés de sa femme que le père lui avait bien dit de lui donner ces deux sacs de mil et de riz ? - Oui... lui dit-elle. La colère et la faim disparurent alors comme par enchantement et le mari, se repentant, salua sa femme avec gentillesse et lui demanda des nouvelles de toute sa famille. L’oiseau fut oublié et la femme resta auprés de son mari...