ainsi entièrement engagé. Suivant les raisons qui conduisent l’enfant à courir, son inten- tion d’action, il va développer des stratégies d’action pour rattraper son camarade et ainsi mobiliser son intelligence (feintes, choix d’itinéraires, évitements...) et son aptitude à penser juste. Les émotions qui accompagnent la course dépendront enfin de la charge affective qu’il engagera dans le jeu. Nous retrouverons en classe, pour toute activité, le même investissement global de la personnalité. Ce qui change ce sont les niveaux d’implication des différents pôles suivant la nature de la tâche.