• 4éme situation : construire un parcours codé Cloche-pied Pieds-joints Foulée Cloche-pied En prenant en compte les trois faces différentes du palet (rouge, jaune, bleue), demander aux enfants, d’organiser en petits groupes de 4, un parcours codé pouvant, mise en relation à la masse, impliquer deux, voire trois formes différentes d’appuis : pas normal, pieds joints, cloche-pieds, sur une distance d’une dizaine de mètres. Ces parcours pour- ront être construits par un groupe qui le propose à un autre et en évalue la réalisation, par la maîtresse qui le propose à tous, etc. ... Possibilité dans cette situation de bien comprendre ce qu’est un algorithme : Pieds-joints, foulée, cloche-pied. Marcher ou courir, suivant le degré de maîtrise des cinq formes fondamentales d’expression spontanée (sauter, galoper, sautiller, pas couru, marche), formes que l’on retrouvera lorsque nous aborderons la mise en relation au temps et à la masse (appuis) dans la création de danses simples. • 5éme situation : construire des machines à glisser. Dans un premier temps il s’agit de laisser la recherche s’effectuer librement, la consigne étant de glisser, seul ou avec l’aide d’un camarade, en se servant des palets. Le jeu est riche, les propositions variées. Certaines peuvent être reprises par la classe entière. Cette activité spontanée, puis de plus en plus consciente mobilise activement les pôles de la corporalité et de la rationalité : force musculaire et coordination motrice pour se tirer, tirer le camarade, pousser...les modes de propulsion sont variés. L’efficacité de l’action nécessite une réelle analyse des paramètres et une créativité, qui se nourrit de l’imitation naturelle entre enfants. « On joue aux voitures »...L’idée peut-être reprise et l’on convient que ce jeu des voitures consiste à construire des « machines à tirer et à pousser ». Inviter les enfants à imaginer des transformations à une machine donnée. Recherche individuelle, à deux, à