les précipitations l’eau de l’atmosphère qui retombe sur le Terre en relation avec le cycle de l’eau étudié par ailleurs Cela permet de rappeler que pour qu’il pleuve sur le continent, il faut d’importantes quantités d’eau et de la chaleur pour l’évaporer et des vents favorables qui ramènent la masse d’air humide au dessus du continent les Moussons Cela explique bien l’observation faite sur le premier planisphère où les zones où il pleut le plus sont situées autour de l’équateur là où il fait chaud et qui baignent dans les océans les instruments de mesures des pluies : pluviomètres le planisphère et le passage d’une représentation de la Terre en trois dimensions globe à celle en deux dimensions Cet exercice est à mettre en relation avec l’activité de lecture de carte menée lors de la journée l’eau et les minéraux d’équateur des tropiques de déserts avec le plus grand d’entre eux, le Sahara. Et la question sous jacente : pourquoi ne pleut-il pas sur cette partie du continent alors qu’il y fait chaud et qu’elle est malgré tout entourée par des océans Un rappel du cycle de l’eau déjà étudié et des mécanismes de fabrication des pluies mettent en évidence l’absence d’un troisième élément le vent favorable pour transporter les masses d’air humides vers les zones concernées. On verra plus loin que cette vaste étendue désertique génère ses propres vents secs l’harmattan qui repousse les masses d’air humides vers l’extérieur De forêt vierge impénétrable