Mes sorties de terrain : Il s’agit de transcrire, à chaque sortie, « ce que j’ai fait et ce que j’ai vu ». Cela pourra se faire sous la forme : > De productions de textes descriptifs et informatifs. > De reportages photos qui permettront de contextualiser les situations d’apprentissages et accompagneront les textes élaborés en classe dans le cadre des activités de français. De faire apparaître la ou les problématiques qui ont émergé au cours de la sortie. Celles-ci seront bien mises en exergue. Cette première partie du classeur traduit le vécu spontané et sensible des élèves dans leur rencontre avec le site d’accueil. Elle prend en compte prioritairement l’engagement du pôle de la corporalité dans l’action. Nous gardons présent à l’esprit que dans tout apprentissage c’est l’ensemble de la personnalité de l’enfant qui est engagée. Totalité que nous avons résumée par la métaphore du CRI (cf. le chapitre de la mé- diation éducative dans l’essai de théorisation de nos pratiques pédagogiques Livre 2). b) Mes travaux de classe : Comme cela a été noté dans le contrat d’enseignement les travaux de classe : > Soit prolongent la sortie de terrain. En général ils reprennent des notions, des concepts, des comportements qui ont été abordés durant la sortie et notés dans le carnet pédagogique de l’enseignant(e) car ils paraissaient intéressant à approfondir et à structurer en classe. Ils sont alors « finalisés par l’amont ». Soit anticipent la sortie. Ils ont été abordés au détour d’une séquence pédagogique dans un champ disciplinaire quelconque géographie sciences et vie de la terre mathématique histoire français et l’enseignant souhaite trouver dans un contexte vivant une situation éducative qui permette un réinvestissement ou un approfondissement Ils sont dans ce cas finalisés par l’aval